Les experts de l’aménagement intérieur sont unanimes sur la question. L’investissement dans un sèche-serviettes est une décision pertinente à bien des égards. Déjà, au nombre de ses atouts, c’est un dispositif qui permet d’optimiser la consommation d’énergie. Mais comment être certain de faire la bonne sélection parmi les modèles électrique, hydraulique ou mixte ? Voici un guide pour vous aider.
Le sèche serviette électrique pour l’autonomie et la simplicité
Le premier critère qui doit guider vos pas vers un sèche-serviettes, c’est son autonomie. Dans ce registre, le modèle électrique reste un choix très apprécié par les propriétaires et surtout en raison de sa simplicité. En effet, pour faire usage d’un seche serviette electrique, vous n’avez qu’à relier le dispositif à une arrivée électrique.
Aussi, précisons que son autonomie complète par rapport au système de chauffage central constitue un atout majeur. Il est possible de l’utiliser toute l’année, même lorsque la chaudière reste éteinte pendant les beaux jours.
C’est pour dire en gros que les sèche-serviettes électriques constituent une solution très pratique et fonctionnelle. Bien sûr, ils peuvent coûter généralement plus cher à l’achat, mais cela vaut le coup, au regard du confort d’utilisation supérieur qu’ils offrent.
Le sèche-serviettes hydraulique pour les économies d’énergie
Êtes-vous plutôt dans l’optique de réaliser plus d’économie sur la consommation en énergie ? Le choix est vite fait dans ce cas. Sans nul doute, le sèche-serviette hydraulique sera votre parfait allié. Comment ?
En pratique, il se raccorde directement au chauffage central de votre logement. Ici, l’eau chaude produite par la chaudière circule dans les tubes du sèche-serviettes. C’est donc cette connexion au système existant qui rend l’appareil particulièrement économique à l’usage. Et dans cette configuration, vous ne payez que l’énergie déjà consommée par votre chauffage principal.
Mais, l’installation du dispositif requiert impérativement le recours à un professionnel qualifié : le plombier. Ce dernier a pour charge de raccorder les tuyaux d’arrivée et de retour d’eau chaude avec précision. À noter qu’une telle intervention peut influer sur le coût d’acquisition.
Il y a cependant une limite directement liée à son fonctionnement saisonnier. Lorsque vous éteignez votre chauffage central au printemps, l’appareil cesse également de fonctionner. C’est en considération de cette contrainte que de nombreux propriétaires optent pour une solution mixte.
Le sèche-serviettes mixte pour combiner tous les avantages
Comme l’indique bien son nom, le sèche-serviette mixte a le mérite d’associer intelligemment les deux sources d’énergie précédentes. Pendant l’hiver, il fonctionne avec l’eau chaude du chauffage central, puis bascule en mode électrique lorsque la chaudière s’éteint.
Vous l’auriez donc compris, la polyvalence qu’il présente vous permet de faire face aux éventuelles contraintes saisonnières. En termes clairs, avec une telle solution, vous allez pouvoir profiter d’une salle de bains confortable douze mois sur douze. La contrepartie, c’est que vous aurez à investir plus qu’il n’en faut pour les autres modèles.
La raison est simple. L’installation requiert une expertise technique pointue. Et mieux encore, l’appareil nécessite à la fois un raccordement au réseau hydraulique et une arrivée électrique dédiée.















